appel "pas un sou !"

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Appel adopté par la 3ᵉ rencontre nationale de délégués pour l’unité du 3 février 2024

Le 3 février 2024 dans les locaux de La Tribune des travailleurs.

Travailleurs, jeunes, militants de toutes tendances,
Unissons-nous contre Macron, Attal et leur politique !

Vie chère, augmentation de 10% des tarifs de l’électricité, doublement des franchises médicales, crise du logement, loi raciste Darmanin… Nous sommes des millions à ne plus pouvoir vivre !

Et comme tous les travailleurs et tous les jeunes, nous aspirons à la paix et voyons avec effroi les guerres contre les peuples se déchaîner, de Gaza à l’Ukraine.

Dans le même temps, les actionnaires ont empoché 97milliards d’euros de dividendes en 2023 et Macron a fait voter 413milliards pour la loi de programmation militaire.

Macron, son gouvernement et sa politique capitaliste sont rejetés comme jamais. Ils sont minoritaires dans le pays.

Et pourtant, ils continuent et préparent de nouveaux coups contre les conquêtes ouvrières et les libertés démocratiques.

Comment est-ce possible ?

Les interventions de nombreux délégués à notre 3e rencontre* l’ont établi :

Dans l’unité, les mobilisations sont massives et elles arrachent souvent des revendications. C’est l’absence d’unité, la dispersion, qui laissent les mains libres au gouvernement et au patronat.

C’est pourquoi nous affirmons l’urgence de l’UNITÉ sur les revendications qui sont les nôtres. C’est l’UNITÉ des travailleurs avec nos organisations qui bloquera les plans du gouvernement et du patronat, et chassera Macron et sa politique capitaliste !

  • L’UNITÉ entre travailleurs « français » et « immigrés », parce que nous ne les laisserons pas nous diviser !
  • L’UNITÉ des travailleuses et des travailleurs, contre ce gouvernement qui s’en prend aux droits des femmes !
  • L’UNITÉ des travailleurs du public et du privé, parce que nous avons les mêmes revendications : augmentation générale des salaires !
  • L’UNITÉ des travailleurs avec la jeunesse, qui n’accepte ni précarité, ni sacrifice des études, ni militarisation !
  • L’UNITÉ avec les petits paysans qui, comme nous, veulent vivre de leur travail !
     

Nous affirmons :

  • L’UNITÉ, c’est l’unité des travailleurs avec leurs organisations, parce qu’il n’y a rien à faire dans les « concertations » avec ce gouvernement !
  • L’UNITÉ, c’est « tous ensemble et en même temps », car c’est la condition pour arracher les petites revendications comme les grandes.

Nous, représentants des comités pour l’unité, groupes de travailleurs du public et du privé, d’étudiants, de paysans, de locataires, quelles que soient nos appartenances syndicales et politiques, prenons l’engagement de poursuivre ce combat, en construisant partout nos comités pour l’unité, en élargissant la campagne contre la vie chère, en préparant notre prochaine rencontre nationale le 6 avril.

* Le 3 février 2024, 170 délégués représentant des comités pour l’unité constitué dans 72 entreprises et localités se sont réunis à Montreuil, dans les locaux de La Tribune des travailleurs, pour une 3ᵉ rencontre nationale pour l’unité.

Rendez-vous sur le site Internet :
https://rencontreunite.wixsite.com/rencontre-pour-l-uni

Prenez le parti des travailleurs !

Travailleuses, travailleurs et vous, jeunes, qui vous rangez du côté des exploités, nous vous adressons cet appel : ensemble construisons le Parti des travailleurs, l’outil nécessaire pour faire triompher nos aspirations.

Le Parti des travailleurs affirme que les travailleurs et les jeunes ont leurs revendications, leur ordre du jour, leurs aspirations. Et d’abord : la paix !

Gaza réduite à un « cimetière à ciel ouvert » (Médecins du monde) par les bombes israéliennes, les centaines de milliers de morts russes et ukrainiens dans une guerre qui n’en finit pas, la désolation de l’Afrique soumise au pillage des multinationales : ces guerres, ces massacres, et bien d’autres désastres, pointent du doigt un responsable, le système capitaliste. Et avec lui, les gouvernements des grandes puissances impérialistes à son service et leur OTAN, leur Union européenne, leur ONU… Le Parti des travailleurs combat pour l’unité entre les peuples. Il rejette toute tentative de les diviser et de les opposer. Il affirme le droit des peuples à vivre libres et à déterminer eux-mêmes leur avenir. C’est pourquoi il lutte pour l’arrêt de la guerre meurtrière en Ukraine, pour l’arrêt immédiat du massacre à Gaza et, au-delà, pour la reconnaissance du droit du peuple palestinien à déterminer lui- même son avenir. Partisans de l’Internationale ouvrière, nous agissons en ce sens au sein du Comité ouvrier inter- national avec nos camarades de quarante pays.

En France, le Parti des travailleurs combat en toutes cir- constances pour l’unité de la classe ouvrière. Il rejette toute division entre travailleurs et jeunes, français et immigrés, et toutes les formes de racisme et de discri- mination.

Le Parti des travailleurs rejette les appels lancés à l’union nationale. Nous affirmons que patrons et travailleurs n’ont pas les mêmes intérêts. Le Parti des travailleurs refuse de suivre les partis de « gauche » dont les députés, en France, ont voté les centaines de milliards d’euros d’aide aux capitalistes et dont les députés au Parlement européen ont voté à six reprises les dépenses militaires pour la guerre en Ukraine. Nous gardons en mémoire ce fait : quelques semaines après que le cri « Macron démission ! » a jailli dans les manifestations contre la réforme des retraites, les dirigeants des partis de « gauche » ont répondu présent aux invitations de Macron et de Borne à participer à toutes sortes de « sommets », y compris au dîner commun des dirigeants de tous les partis (dont le Rassemblement national) autour de Macron.

À l’union nationale, nous opposons la nécessité pour les travailleurs de préserver leur indépendance et celle de leurs organisations.

Travailleuses, travailleurs et jeunes, comme nous, vous savez que la société est divisée en classes. Vous subissez chaque jour les conséquences de l’effondrement social, la faim et la misère qui se répandent dans le pays, tandis que d’immenses profits s’accumulent entre les mains de quelques-uns. C’est pourquoi nous vous invitons à construire un parti résolument orienté sur la lutte de classe. Oui, la lutte de classe : la seule arme entre nos mains pour arracher les revendications, toutes les revendications. Y compris la revendication d’un gouvernement des travailleurs au service des travailleurs, un gouvernement de la majorité qui n’hésitera pas à rompre avec le régime de plus en plus antidémocratique de la Ve République et avec cette Union européenne de guerre et de destruction.

Partisan de la démocratie et du socialisme – c’est-à-dire l’appropriation collective des moyens de production par les producteurs eux-mêmes –, le Parti des travailleurs revendique l’élection d’une Assemblée constituante par laquelle le peuple définira lui-même la forme et le contenu de la démocratie.

Travailleuses, travailleurs et jeunes, ce Parti des travail- leurs, vous le connaissez pour beaucoup d’entre vous à travers notre hebdomadaire La Tribune des travailleurs. Ce journal reflète ce que nous sommes : un parti dans lequel se retrouvent des travailleurs et des jeunes venus de tous les horizons du mouvement ouvrier, du mouve- ment syndical, du Parti communiste, du Parti socialiste, de La France insoumise, du courant trotskyste et d’autres sans engagement politique antérieur.

Pour la libération de la classe des producteurs, ensemble, construisons ce parti ! Rejoignez-nous !

Adopté à l’unanimité des délégués au Conseil fédéral national du Parti des travailleurs réuni le 10 décembre 2023 à Montreuil.

Appel adopté par la 2ᵉ rencontre nationale de délégués pour l’unité – 25 novembre 2023

Plus de 10 000 travailleurs ont signé l’appel lancé le 30 septembre dernier « La vie chère… ça ne peut plus durer ! »

Nous sommes ici, délégués, mandatés par les signataires et par nos collègues. Cinquante intervenants ont témoigné des bagarres engagées pour arracher la moindre revendication. C’est dans ce cadre que nous décidons de poursuivre le combat.
Depuis que nous avons lancé cet appel, la situation s’est aggravée dans tous les domaines. Des millions de travailleurs et leurs familles ne peuvent boucler les fins de mois. Les associations d’aide alimentaire ne peuvent fournir ce qui est nécessaire.

Qui est responsable ?

Les multinationales qui spéculent et organisent la flambée des prix.
Les patrons qui refusent que les salaires compensent l’inflation.
Et surtout, le gouvernement Macron ! Le gouvernement qui laisse faire les multinationales en disant qu’il ne peut s’opposer. Le gouvernement qui, au lieu d’augmenter les salaires dans la fonction publique, donne de l’argent : 413 milliards d’euros pour la guerre et plus de 600 milliards pour les patrons !
Ce gouvernement qui consacre ses efforts à ses projets guerriers et qui cherche à diviser les travailleurs en fonction de leurs origines. Ce gouvernement qui remet en cause les libertés démocratiques les plus fondamentales.

Ce 25 novembre, dans notre 2e rencontre nationale, nous avons entendu des interventions rendant compte de la manière dont les travailleurs s’organisent à tous les niveaux. Les revendications sont diverses mais tous les travailleurs ont en commun une revendication : maintenant, tout de suite, augmentation générale des salaires, le rattrapage de tout ce qui a été perdu par l’inflation, l’indexation des salaires, des pensions et des allocations sur l’inflation, le blocage de tous les prix !
Cette revendication, commune à tous les travailleurs, nous ne l’arracherons que dans la mobilisation unie à tous les niveaux pour faire reculer le gouvernement, avec nos organisations dont c’est la responsabilité d’aider à l’organiser.

Notre rencontre a réuni 133 délégués représentant 86 groupements de travailleurs du public et du privé, territoriaux, hospitaliers, postiers, AESH, cheminots, aides à domicile, des travailleurs d’EDF, de l’hôtellerie, de la chimie, de l’aérien, des locataires, des enseignants, des jeunes, des étudiants, des retraités…

Nous avons décidé :
– de poursuivre la campagne de signatures sur l’appel « La vie chère…ça ne peut plus durer ! » ;
– de poursuivre la constitution de comités pour l’unité ;
– de préparer une 3e rencontre nationale le 3 février 2024.

Adopté à l’unanimité par la rencontre nationale

Le texte de l’appel de la rencontre nationale est disponible sur la page de la rencontre nationale : https://rencontreunite.wixsite.com/rencontre-pour-l-uni

Vous le trouvez en pdf ici :
https://0370e9f5-043e-41b2-83b2-d3082f777392.filesusr.com/ugd/138ebe_54a5dcbe37bd445d9a290d8c8defcbce.pdf

La vie chère… ça ne peut plus durer ! Déjà 20 449 signataires. SIGNEZ MASSIVEMENT LA PÉTITION


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De l’argent ? Il y en a !
Il faut reprendre les 413 milliards de la loi de programmation militaire
et les 600 milliards distribués aux patrons !

Alors, maintenant, tout de suite :

AUGMENTATION GÉNÉRALE DES SALAIRES ET DES PENSIONS !
BLOCAGE DES PRIX !
L’ARGENT POUR L’ÉCOLE ET LES HÔPITAUX !
NE TOUCHEZ PAS À LA SÉCU !

Signez, faites signer ! Prenons nos affaires en main ! Constituons dans nos entreprises et nos localités des comités pour l’unité, pour arracher toutes nos revendications.

Appel adopté par la rencontre nationale de délégués pour l’unité – 30 septembre 2023

La vie chère… ça ne peut plus durer !

Le 30 septembre, nous, 104 travailleurs, jeunes et militants mandatés par 67 délégations d’entreprise et de localité, nous sommes réunis dans une « rencontre nationale de délégués pour l’unité pour en finir avec Macron et sa poli- tique ». Nous avons répondu à l’appel lancé par des travailleurs hospitaliers de l’hôpital Édouard-Toulouse à Marseille, après les grèves et les manifestations pour le retrait de la réforme Macron sur les retraites.

Ces travailleurs – qui avaient participé à la constitution d’un comité de grève avec des délégués de service avec les syndicats FO et CGT – proposaient que la rencontre nationale puisse « discuter de la préparation du combat d’ensemble pour en finir avec ce gouvernement, ouvrant la voie à un autre gouvernement au service de la majorité ».

Nous avons échangé, nous vous soumettons les conclusions auxquelles nous avons abouti.

La situation est intenable. La vie chère, l’inflation galopante étranglent le budget des familles ouvrières. Chacun est contraint de faire des choix, qu’il s’agisse de l’alimentation, de l’accès aux soins en raison des difficultés à l’hôpital et de la part sans cesse grandissante des dépenses de santé non prises en charge. Intolérable est le sort fait à la jeune génération tant en ce qui concerne le droit à l’instruction que les conditions de vie des jeunes et des étudiants. Nous sommes unis pour affirmer que cela ne peut plus durer.

Lorsque les revendications sont clairement établies, les travailleurs sont unis, les mobilisations sont massives.

À Langres, pour la défense de l’hôpital, c’est-à-dire pour pouvoir se soigner, toute la population est descendue dans la rue avec les personnels et les élus. Nous avons entendu dans notre rencontre des délégués relater des grèves massives de salariés unis avec les syndicats.

Malheureusement, la division règne. Les partis de gauche se divisent au lieu de s’unir contre Macron. Quant aux directions des organisations syndicales, après avoir refusé d’appeler à la grève générale, elles n’ouvrent aucune perspective sérieuse d’action. Cela au moment même où Macron les convoque dans la conférence du dialogue social. Pour autant, nous ne nous résignons pas.

Les travailleurs sont unis. Ils aspirent à l’unité.

Les travailleurs sont unis, car ils veulent vivre. Ils veulent pouvoir manger et donner à manger à leurs familles. Ils veulent que s’arrête la spirale infernale de l’inflation. Ils veulent que les prix soient bloqués, que les salaires – qui doivent être indexés sur l’inflation – soient massivement augmentés.

Pour tout contact : confnatpourlunite@gmail.com

Au moment où les grèves se multiplient pour l’augmentation des salaires, les travailleurs suivent le combat des travailleurs américains pour les 40% d’augmentation de salaire.

Cela souligne la nécessité du combat d’ensemble pour une augmentation générale des salaires.

Et cette volonté commune des travailleurs et de leurs familles d’en finir avec la vie chère pose la question de l’urgence d’organiser partout des marches unies contre la vie chère.

Les travailleurs sont unis pour la défense de l’hôpital et de la Sécurité sociale, une nouvelle fois attaquée par le « projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2024 » et la volonté d’imposer le doublement de la franchise médicale et de la participation forfaitaire sur les médicaments.

Oui, l’exigence de l’abrogation de la réforme des retraites et du refus des franchises médicales rassemble tout le monde.

Les travailleurs sont unis. Ils veulent défendre les services publics, le droit à l’instruction. Ils savent que l’argent existe : des centaines de milliards ont été donnés et sont donnés à l’armée, ont été et sont donnés aux capitalistes et aux banques, pour payer les intérêts d’une dette qui n’est pas celle du peuple.

Nous avons pris les décisions suivantes :

• Initier une pétition « La vie chère, ça ne peut plus durer ! » pour que, par dizaines de milliers, dans tout
le pays, dans les entreprises, dans les localités, les travailleurs, leurs familles, les jeunes puissent se rassembler pour dire ensemble : cela ne peut plus durer !

• Proposer partout la constitution de comités pour l’unité combattant pour que l’unité se réalise sur chaque revendication. Nous sommes persuadés que c’est en se rassemblant dans l’unité sur la moindre revendication que nous construirons le vaste mouvement d’ensemble qui en finira avec Macron et sa politique.

• Poursuivre le travail de liaison que nous avons réalisé en ce mois de septembre et convoquer une seconde rencontre nationale de délégués pour l’unité le samedi 25 novembre.

Travailleurs, militants, jeunes,

Prenons en charge la réalisation de l’unité autour de nos revendications vitales.

Prenons nos affaires en main. Groupons-nous.
C’est la voie du combat. C’est la voie des succès à venir.

 Adopté à l’unanimité par la rencontre nationale
moins deux abstentions


Je signe la pétition

La vie chère… ça ne peut plus durer !

De l’argent ? Il y en a !
Il faut reprendre les 413 milliards de la loi de programmation militaire
et les 600 milliards distribués aux patrons !

Alors, maintenant, tout de suite :

⇒ AUGMENTATION GÉNÉRALE DES SALAIRES ET DES PENSIONS !
⇒ BLOCAGE DES PRIX!
⇒ L’ARGENT POUR L’ÉCOLE ET LES HÔPITAUX !
⇒ NE TOUCHEZ PAS À LA SÉCU !

Signez, faites signer ! Prenons nos affaires en main ! Constituons dans nos entreprises et nos localités des comités pour l’unité, pour arracher toutes nos revendications.

Signez l’appel DEHORS MACRON ET SA POLITIQUE !

   23 523 travailleurs et jeunes ont signé l’appel au 26 septembre 2023


Les prix flambent. La pauvreté s’étend. La faim gagne du terrain. Les hôpitaux sont asphyxiés. Le droit à l’instruction est saccagé.

Le gouvernement Macron organise la catastrophe sociale.

Les capitalistes et les actionnaires se gavent.

Des millions de travailleurs ont crié dans la rue : « Macron démission ! »

Il n’y a rien à discuter avec lui !

Les travailleurs veulent vivre. La solution conforme à la démocratie et aux besoins de l’immense majorité, c’est un gouvernement sans Macron ni patrons.

Des travailleurs hospitaliers appellent à une rencontre nationale pour l’unité le 30 septembre. Ils ont raison.

La voie du succès, c’est l’unité pour :

Dehors Macron, sa réforme des retraites et sa loi de programmation militaire de 413 milliards d’euros !

Défense de la Sécurité sociale, non aux franchises médicales !

Augmentation générale des salaires, indexation sur les prix ! Blocage des prix !

Le bureau national, le 9 septembre 2023


Je signe l’appel

Dehors Macron et sa politique !
Dehors Macron, sa réforme des retraites
et sa loi de programmation militaire de 413 milliards d’euros !
Défense de la Sécurité sociale, non aux franchises médicales !
Augmentation générale des salaires, indexation sur les prix !
Blocage des prix !